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đŸ‡ȘđŸ‡ș PSG, OM : et si un club français gagnait vraiment la Coupe d’Europe ?

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Frison Gaspier

đŸŸïž Ce samedi soir Ă  Munich, deux gĂ©ants du football europĂ©en s’affrontent en finale de la Ligue des Champions. La France, elle, reste Ă  la porte. Un titre unique, une ombre persistante, des milliards alignĂ©s
 mais jamais encore, une victoire pleinement assumĂ©e. Jusqu’à quand ?

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🎯 Une nation qui brille, des clubs qui s’effacent


đŸ‡«đŸ‡· Deux Ă©toiles, deux Euros, cinq finales en vingt-cinq ans.

L’équipe de France brille sur la scĂšne mondiale.

Et pourtant, un seul club a gagné la Ligue des Champions.



âšœ Une compĂ©tition de lĂ©gende, sans la France


Créée en 1955, la Coupe des clubs champions europĂ©ens, devenue Ligue des Champions en 1992, est le Graal du football de clubs. 69 Ă©ditions, 23 clubs vainqueurs
 et un seul club français au palmarĂšs.


Depuis 30 ans, la France regarde la finale, bien plus souvent qu’elle n’y participe. Le Stade de Reims (1956, 1959), Saint-Étienne (1976), le PSG (2020), tous finalistes
 tous battus. Seul l’Olympique de Marseille a triomphĂ©, en 1993, dĂ©jĂ  Ă  Munich. Mais ce titre-lĂ  ne ressemble Ă  aucun autre.



🏆 L’OM de Tapie : un club français, oui. Mais un super-club surtout


En 1993, l’OM est une machine de guerre europĂ©enne. Bernard Tapie y injecte des moyens rarement vus en France. Budget record, stars mondiales, staff mĂ©dical avancĂ©, pression constante.


C’est l’époque oĂč les clubs français dominent le championnat
 mais oĂč les joueurs n’ont pas encore fui vers l’étranger. Marseille aligne Barthez, Deschamps, Boli, Abedi PelĂ©, Völler. Et fait plier Milan 1–0.


Mais trois jours plus tĂŽt, le club affronte Valenciennes. Un match sans enjeu apparent. Trop sans doute. Le staff marseillais tente d’acheter des joueurs adverses pour Ă©viter les blessures avant la finale. L’affaire explose. Tapie est condamnĂ©. Le club est relĂ©guĂ©. Et la victoire europĂ©enne est Ă©claboussĂ©e par le doute.



❌ L’ombre de l’arbitre


L’arbitre de cette finale s’appelle Kurt Röthlisberger. Il ne commet pas d’erreurs majeures ce soir-lĂ , mais trois ans plus tard, il est suspendu Ă  vie par la FIFA pour tentative de corruption sur un autre match international.


Cela ne prouve rien, mais cela n’efface rien non plus.

Dans les annĂ©es 90, pas de VAR (abitrage vidĂ©o), pas de camĂ©ras multiples, pas de micros dans l’oreillette. L’arbitre Ă©tait seul, souverain et influençable. La question reste donc ouverte :


L’OM a-t-il vraiment gagnĂ© sportivement la seule Ligue des Champions française ? La question est crue, agressive et choquante pour ceux qui aiment ce club, mais une bonne partie de l'Europe continue de se la poser. Et Ă  TSVmag, nous n'aimons pas mettre la poussiĂšre sous le tapis (de Bernard).



Aujourd’hui, tout a changĂ©. Enfin
 presque tout.


Le Paris Saint-Germain, est un club-État financĂ© par le Qatar. Il est aujourd’hui le troisiĂšme club le plus riche d’Europe.


Il a recruté Messi, Neymar, Mbappé, Ramos, Luis Enrique, sans jamais réussir à construire un collectif durable.



đŸ‡¶đŸ‡Š Peut-on encore parler d’un club “français” ?


Le Paris Saint-Germain est juridiquement un club français, jouant en Ligue 1. Mais, c’est un club :

  • financĂ© par une monarchie Ă©trangĂšre

  • gĂ©rĂ© selon des objectifs d’image gĂ©opolitique

  • oĂč l’on parle parfois plus espagnol, anglais ou arabe que français

  • qui compte plus de fans en IndonĂ©sie qu’en Île-de-France

🧠 Alors, oui, c’est un club français. Mais si Paris gagne la Ligue des Champions demain, ce sera la victoire d’une marque internationale, plus que d’un terroir ou du football national.



đŸ’¶  L'argent reste le coeur du dispositif.


Les chiffres sont tĂȘtus :

  • Depuis 2010, tous les vainqueurs de la Ligue des Champions sont parmi les 10 clubs les plus riches (Real, Barça, Bayern, Chelsea, City, Liverpool
).

  • Le PSG coche donc la case financiĂšre, celle qui permet de viser haut.


Mais reste le projet sportif, la gestion des egos, la rĂ©silience mentale, la cohĂ©rence d’un club, ce qui manque souvent Ă  Paris.



đŸŽ„ Corrompre aujourd’hui ? Mission (presque) impossible


La Ligue des Champions version 2025, c’est :

  • Des centres VAR surĂ©quipĂ©s,

  • Des arbitres filmĂ©s, Ă©coutĂ©s, encadrĂ©s,

  • Des millions de spectateurs capables d’analyser chaque action Ă  la seconde prĂšs,

  • Une presse sportive mondiale plus libre et plus connectĂ©e.

🛑 La corruption n’a pas disparu, mais elle ne se dissimule plus aussi facilement.


Impossible ? Non, peut-ĂȘtre pas. Mais beaucoup plus risquĂ©, beaucoup plus coĂ»teux, beaucoup plus exposĂ©.



❓Et si c’était ça, le vrai dĂ©fi français ?


La France n’a remportĂ© qu’une seule fois cette coupe.

Une victoire avec une tache, comme un but en finale marqué de la main.

Et si la vraie question n’était pas “Quand un club français gagnera-t-il la Ligue des Champions ?”, mais :


🧹 Quand un club français la gagnera-t-il vraiment ?


Sans ombre. Sans soupçon. Sans arrangements.

Juste un soir de foot. Gagner pour de bon.


🧠 Cet article a été coécrit avec l’intelligence artificielle. Il vous a plu, surpris, enrichi ? Soutenir, c’est partager :

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Pourquoi il vaudrait mieux que le PSG ne gagne pas ?

Ou peut-ĂȘtre que si.

Le match n’a pas encore commencĂ©. Mais la fracture, elle, est dĂ©jĂ  lĂ .

D’un cĂŽtĂ©, ceux qui croisent les doigts pour un Ă©chec. De l’autre, ceux qui en rĂȘvent depuis l’enfance.

Le PSG en finale, c’est plus qu’un match. C’est une crise d’identitĂ© nationale Ă  ciel ouvert.

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