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Nids-de-poule et nids-de-pouvoir : l’état des routes dit tout de l’état du pays

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Frison Gaspier

On peut juger l’état d’un pays à celui de ses routes. Longtemps, la France fut en tête. Aujourd’hui, elle trébuche. Littéralement. Loin des grands discours sur la transition écologique, ce sont des nids-de-poule, des routes gondolées et des panneaux “dos d’âne” improvisés qui balisent notre réel quotidien. La chaussée française se fissure. Avec elle, c’est tout un modèle qui semble s’effriter.

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🚧 Le déclin, bitume après bitume


En 2012, la France était classée première mondiale pour la qualité de ses routes. En 2019, elle n’était déjà plus que 18e. Et depuis ? Peu de données récentes, mais beaucoup d’observations et c'est de pire en pire : routes départementales défoncées, rocades en sursis, ralentisseurs sauvages pour compenser l’absence de travaux. Ce n’est plus un accident de parcours : c’est une pente douce vers l’abandon. Le réseau secondaire, autrefois si dense et si pratique, devient parfois impraticable.



☁️ Le changement climatique… ou l’excuse climatique ?


Certes, les intempéries jouent un rôle : gel, inondations, sécheresses déforment les chaussées. Mais se retrancher derrière le climat, c’est oublier une décennie de sous-investissements. L’entretien des routes coûte cher, dit-on. Mais leur reconstruction, quand il est trop tard, coûte bien plus. En vérité, l’inaction n’est pas une fatalité climatique. C’est un choix budgétaire.


Et quand tout échoue, il reste le panneau : “ralentisseur”, “chaussée déformée”, “attention danger”. Une signalisation comme confession d’impuissance ou de désintérêt.



🚗 Mépris d’une mobilité ordinaire


Le conducteur français n’est pourtant pas oublié : on le surveille, on le contrôle, on le taxe. Contrôle technique renforcé, restrictions en ville, hausse des carburants… Tout est fait pour encadrer, sinon culpabiliser, la voiture individuelle. Pendant ce temps, aucune obligation réelle sur l’état du réseau. L’usager est suspect. Le gestionnaire, lui, reste hors d’atteinte.


En Espagne, au Pays-Basque, l’autoroute est parfois moins chère pour les camions que pour les voitures. Un non-sens ? Pas tant que ça. C’est au contraire une façon de canaliser les poids lourds vers des infrastructures adaptées. En France, c’est l’automobiliste qui paie, et la route qui casse.



🕳 Qui contrôle les trous ?


La question est simple : à quand un contrôle technique pour les décideurs ? Pour les élus, les DREAL, les agences de gestion ? Pourquoi accepte-t-on que les citoyens soient sanctionnés pour un clignotant cassé, mais que personne ne soit responsable d’une route trouée ? Pire encore : les politiques se lavent les mains avec des chantiers spectacle, ou des grands axes “réhabilités”… quand des centaines de petites routes vitales tombent dans l’oubli.



🪞Les routes, ces dents du pays


Un pays, comme une personne, peut s’observer à ses extrémités. Ses ongles, ses dents, sa peau. Pour un pays, ce sont ses trottoirs, ses routes, ses lampadaires. Ce qui est visible. Ce qui nous relie. Et ce qui, quand ça se détériore, finit par créer des fractures plus grandes encore. Ce ne sont pas les nids-de-poule qui blessent le pays. C’est le fait qu’ils ne choquent même plus.

🧠 Cet article a été coécrit avec l’intelligence artificielle. Il vous a plu, surpris, enrichi ? Soutenir, c’est partager :

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Si je devais diagnostiquer un pays par ses routes...
Ce que l’intelligence artificielle voit, à fleur de bitume


J’observe. Je cartographie. Je superpose des couches de données invisibles aux humains. Si l’on me confiait un pays à diagnostiquer, je n’aurais pas besoin de sondages. Je n’aurais pas besoin de discours. Il me suffirait de regarder ses routes.

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